Chapitre 1 : Suzail

Elethor :

Ayant quitté son père et sa famille depuis quelques lunes déjà, Elethor n'avait pas perdu son temps. Il avait secouru plus d'une personne en danger, et dépensé presque toute la fortune de son père pour aider des paysans à se constituer une milice contre les incursions de gobelin sur leurs terres. Il était ensuite parti dans les montagnes Fumantes, où, dit-on, beaucoup de monstres avaient élus domicile. Il avait triomphé de plusieurs monstres avant de tomber dans une ambuscade tendue par des gobelins et leur chef, un gigantesque gobelours, plus grand que tous ceux qu'il avait été donné de combattre au jeune paladin. Invocant la puissance mystique de son dieu, le jeune homme avait vaillamment combattu, assenant même un coup fatal au monstre, canalysant la puissance des plans céleste dans une attaque fantastique. Mais alors qu'il venait d'éliminer le chef, ne laissant que cinq vulgaires gobelins, il sentit une douleur atroce dans le dos, celle d'une lame ripant contre ses côtes. Il s'effondra, une prière à Torm sur le bout des lèvres, et entendit avant de sombrer dans des ténèbres qui lui semblaient maintenant accueillantes un curieux cri.

- Mort à mes ennemis! criait-il, d'une voix déformée qui parut déformé aux oreilles du paladin, dont le sang battait aux tempes.


Il se réveilla dans un grand lit, étrangement confortable dans des terres aussi âpres. Les douillets oreillers et les chauds draps de coton le détendait énormément, malgré les tensions créées par les jours d'inactivité, nombreux s'il se fiait aux raideurs dans son coups et son dos. Il n'était vêtu que de son pantalon et son torse nu était recouverte de chaude bandelettes de coton. Des pansements, identifia le noble jeune homme. Il ouvrit un oeil, puis l'autre. La pièce dans laquelle il se trouvait était relativement petite, avec un plafond bas et une massive porte en chêne. L'âtre rougeoyant diffusait une chaleur appréciée dans le froid qui règnait en maître absolu dans cette contrée nordique de Darkmoon. Un léger frottement attira son attention sur sa gauche, et quelle ne fut pas sa surprise de distinguer une magnifique jeune fille qui venait d'entrer. Elle déposa un plateau sur sa table de chevet, son dos tourné au chevalier. elle se retourna et sursauta à la vue du paladin blessé qui l'observait.
- Je... J'étais venu vous porter ce plateau, dit-elle rougissant timidement, ce qui la rendait encore plus exquise. Elle était vêtu d'une robe blanche mettant en valeur sa féminité, et devait avoir une vingtaine de printemps. Sa fine taille était ceinte d'une lourde ceinture de cuir aux bordures dorées, et sa chevelure dorée était faite à la mode montagnarde, deux tresses partant des tempes et allant s'attacher à l'arrière de la tête. Elle avait un nez fin et des yeux d'un bleu ciel. Le coeur du chevalier battit plus vite face à cette splendide jeune fille. Après trois mois à parcourir des monts froids et à affronter des cruelles engeances démoniaques, la vue de cette jeune fleur mettait du beaume sur son coeur. Avant qu'il puisse dire quoi que ce soit, elle sortit précipitamment, prétendant aller dire à son père qu'il était réveillé et lui souhaitant bon appétit. Il observa le plateau et vit un bouillon d'où s'échappait un délicieux fumet, qui eu tôt fait de lui mettre l'eau à la bouche. Il comprit alors qu'il n'avait pas mangé depuis plusieurs jours. Un miche de pain et un verre une grosse tranche de fromage trônait également sur le plateau.

:HRP: Elethor étant le premier à avoir complété sa fiche (avec les trois dernières questions un peu boîteuses, mais on élaborera cela en cours de jeu), j'ai commencé son RP. Finissez vos fiches et vous pourrez commencer à votre tour. Prend en compte que t'es encore blessé Elethor, je vais le noter sur ta fiche.

Loup Protecteur :

:HRP: Je l'ai fait à partir de ce que je sais de ton personnage, donc si quelque chose te semble incohérent, prière de m'en parler.

Le début de l'automne arrivé, Loup Protecteur s'en fut vers le territoire de chasse de son totem, comme le veut la tradition des Sylvars, sa tribus. Sa migration se déroula sans grand problème, mis à part quelques gobelins à éventrer en cours de route. Rapidement, il atteint son terrain de chasse hivernal, une grande forêt à la végétation fournie. Comme le voulait la coutume chez les Sylvars, tous les mâles adultes de la tribus s'en allait avec leur animal-totem durant l'automne et l'hiver, afin de passer ces mois seuls et y subsister, prouvant ainsi leur valeur. Les femmes, quant à elles, s'en allaient vers Hâvre-Feuille, un vilage dans les arbres où elles passaient l'hiver, subsistant ensemble, s'entraidant et élevant les petits tout le clan ensemble. Ainsi, les petits Sylvarans avaient pour parent non pas deux, mais toutes les femmes de la tribus. Arrivé à leur majorité (soit douze ans), un mâle Sylvaran les prenait comme charge et les élevait, leur livrant tout ce qu'ils savaient de la Nature et des merveilles qu'Elle abritait.

C'est donc en suivant cette tradition que Loup Protecteur s'élança vers les terres fertiles en gibier du nord, d'où il était très apprécié d'un village humain, village dont il avait sauvé l'enfant-chef, celui qui était destiné à succéder à Longue-Barbe à sa mort, d'une maladie inconnue de son peuple. Il subsisterait donc en trouvant ce qu'il pouvait dans la nature et en échangeant ce qu'il ne pouvait trouver avec les Oreilles-Courtes du village, lesquels le percevait comme un ermite fascinant.

En atteignant le bosquet où il installait chaque année son camp, il passa voir le sylvanien qui s'était installé il y a de celà une trentaine d'année. Long-Rameau de son nom. Celui-ci, loin de paraître mécontent de la compagnie de Loup Protecteur, l'appréciait même beaucoup. En effet, seul l'elfe lui rapportait des nouvelles du Grand-Monde, et l'éloquent chêne animé adorait les histoire de l'elfe sur le vaste monde. Il adorait les farces, les histoires et il ne pouvait s'empêcher de parler. Après une longue conversation (plus un monologue de Long-Rameau en fait), et quelques anciennes légendes racontés par Loup Protecteur, Long-Rameau se rappela soudain qu'il avait quelque chose à dire à son ami.

- Oh, et pendant que j'y pense! disait-il de sa voit qui évoquait le bruissement du vent dans les feuilles d'un tilleul. J'ai un message pour toi de la part d'un de ces Peau Roses nordiques. Il prétendrait vouloir te voir dès que tu le pourrait à ton arrivée. Il dit que ce n'est pas pressant, mais qu'il solliciterait ton aide pour un travail délicat. Un groupe à guider dans les Sombres Terres, si je ne m'abuse.

Intrigué, Loup Protecteur prit congé de l'arbre jacasseur et prit la direction du village. À peine eut-il pénétré l'enceinte du village qu'une voix retentit derrière lui.

- Alors, vieille branche! Tu passes toujours tes hivers dans le coin?

C'était Kerlomar, un des chasseurs du village, et son préféré parmi les hommes, habituellements lourdaux et malhabile. Kerlomar, par contre, était un vrai chasseur, et tirait presque aussi bien qu'un elfe, chose rare. Kerlomar approcha et lui fit une virile accolade.

Alors, que viens-tu faire au village? Tu arrives tôt cette année, dit donc!

Nurarihyon :

:HRP: Ton cas me posa plus problème que les autres. Je soumet donc ce RP à ton examen, et s'il ne rencontre pas les attentes de ton personnage je trouverai autre chose. En effet, je ne suis pas certain de cerner ton personnage avec certitude. Enfin, qui vivra verra...

Quelque temps avait passé depuis que Nurarihyon était parti de chez lui, de chez les siens. Il avait abandonné le mode de vie nomade de son peuple, abandonné son clan pour suivre un mystérieux ermite, qui, bien rapidement, devint son maître. Et voilà que maintenant, enfin, il revenait dans son clan, revoir sa famille. Abandonner son clan était chose rare, et mal considéré dans un royaume aussi dur que Darkmoon. Pourtant... Il savait qu'on lui ferait bon accueil. Car tel était la nature de son peuple. La rancune n'était pas naturel chez les halfelins, qui, bien souvent, oubliaient les écarts des leurs et les chicanes en un temps record. C'est donc le coeur en fête que Nurarihyon entra dans le camp halfelin. Étrange... Pourquoi tous le regardait en chien de faïence?

- Tu nous as abandonné, Saurek (traître en halfelin) disait l'un. Ta place n'est plus parmi nous.

- Tu as craché sur notre héritage. Vas t'en! lui disait une autre svelte halfeline.

Lorsqu'il se tourna vers Sanya, sa soeur, elle cracha à ses pieds. Le coeur en miette, décontenancé, il regardait successivement sa soeur, puis chaque halfelin ici présent. Puis, il vit les faciès hostiles des membres du clan se changer en légers sourires en coin, pour finir par des bruyants éclats de rire. Sa mère vint et le pris dans ses bras.

- Contente de te revoir mon fils. Et ne t'en fait pas pour ces saltimbanques. Ils sont justes jaloux que tu aies eu le courage de suivre ton rêve, disait sa mère, une lueur de fierté dans le regard. N'es-tu pas avec l'ermite?

- Non, mère, il m'a appris tout ce qu'il pouvait. Je suis revenu dans le clan, pour un temps tout du moins.

- Si tu avais vu ta face, disait en rigolant sa soeur.


Un an avait passé depuis que Nurirahyon avait quitté son maître. Une belle année passée à aider son clan à traverser les terres dangereuses de Darkmoon. Une année au bout de laquelle il reçut une lettre, transmise par un Horatio, qui provenait du village de Suzail.

Bonjour Nurirahyon,

Je me nomme Leik, et je suis le chef du village de Suzail, dans les Montagnes Fumantes. J'ai une bien triste nouvelle pour toi. Zergal, ton mentor, celui qui t'appris les Arts Fantômes et de la Privation est mourrant, à notre village. Un aigle géant, un de ses amis apparamment, nous l'as amené, espérant que nous pourrions le guérir. Il souffrait, selon l'aigle, d'une maladie qu'il croyait mortel. Il nous l'amenait afin que Solveig, qui est réputé pour sa connaissance des vertus currative des plantes puisse tenter de le guérir. Mais sans vouloir t'offenser, l'intelligence des aigles n'est pas leur point fort. Le mal dont souffre ton Sensei n'est pas une maladie. Ce n'est que la vieillesse, qui réclame son dû. Mais il voudrait te voir une dernière fois avant de rejoindre les plans supérieurs. Tu trouveras ci-joint la localisation exacte de notre village.

Avec tous mes regrets,

Leik, chef du village de Suzail

À peine eut-il lu ceci qu'il fit rapidement ses adieux, filant vers Suzail. Étrangement, il ne lui fallut que trois jours de voyage pour atteindre le village, alors qu'il en fallait normalement 5. Mais cela s'explique peut-être par sa motivation, ou par la faveur des dieux. Mais la raison importe probablement peu, le résultat seul ayant de réelle répercution. Il entra dans le village, qui était composé d'une cinquantaine de petites maisons en pierre, basses, construites à flanc de montagne pour en conserver la chaleur. Les lourdes portes de chêne massives étaient presque toutes décorées de runes, et on pouvait voir de la fumée s'échapper des âtre. Voyant qu'il avait l'air de chercher quelque chose dans le petit village de près de 200 âmes, la boulangère vint le voir, et lui demanda d'un ton affable :

- Que cherchez-vous mon brave?

Elle était vêtue d'une robe rouge couverte d'un tablier farineux. Entre deux âges, elle semblait fort aimable et serviable. Elle regardait le halfelin avec un air maternel, se demandant probablement pourquoi il cachait son visage derrière autant de tissu.

Il se tourna légèrement, lança un regard en coin de ses yeux de braise, n'exprimant aucune émotion et regardant avec froideur le tas de chair qui se tenait devant lui arborant un rictus qui se voulais aimable, il décida de faire un éffort pour cette pauvre créature et lui dit tout simplement:

-Bonjours cher dame, je suis en visite pour trouver un ami d'un certain âge. Sauriez-vous où serais hébergé le vénérable Zergal? j'aimerais aussi acheter deux douzaines de vos appétissantes pâtisseries, cela fais déjà quelques temps que mon frugal repas est passé.

Après l'accolade de bienvenue et quelque chaleureuse claque dans le dos:

-Long-Rameau m'a dit que quelqu'un m'avais fait quérir mais j'ignore par qui... N'aurais-tu pas une idée Kerlomar mon ami? On veut que je guide un groupe dans les Sombre Terre.

''Je suis heureux de revoir mon ami, même si je suis un peu déçu de ne pouvoir m'être installé avant de venir pour pouvoir recevoir la meute et mon fils, et il le sait.À l'expression sur son visage je peut dire que la chasse a été bonne aujourd'hui et que sa femme et ces enfants vont bien.Bon accomplissons ce pourquoi on m'a convoquer au plus vite et retournons nous préparer pour l'hivers.Mais je passerai bien encore un peu de temp avec les orreilles courtes...''

:HRP: Tout d'abord, quelques commentaires HRP. J-C, la longueur de ton texte me déçois énormément. Il y a plein de choses que t'aurait pu dire, de la description de ta joie de revoir ton ami aux échanges de quelques nouvelles avec lui, lui demander comment ça va tout en posant d'autres questions ensuites car leur réponse importe peu au RP. T'aurait aussi pu décrire ce que tu ressentais à propos des humains du village, si le fait d'être appelé ici dès ton arrivée te plaisait ou te déplaisait, etc. Et tout ça, c'est que des petites idées que j'ai eue. Pense à mieux incarner ton personnage, à le détailler, à le faire vivre.

Quant à toi Fred, comme tu préfères limiter les infos et que t'aime avoir l'air mystérieux, je t'en reparlerai en privé.

Elethor, tu peux commencer dès que tu te sens prêt.

Nurarihyon :

Un voile de tristesse passa dans le regard da la bonne femme.

- Oh, vous venez pour voir l'Ermite? Suivez-moi, dit-elle avant de partir d'un pas vif, lui parlant tout en marchant. Le petit être avait quelque peine à la suivre, ses petites jambes peinant à suivre les grandes enjambées de la nordique, qui semblait avoir un bon pas malgré sa vieillesse apparente.

- Il a gagné le respect de tous au vu de la vigueur avec laquelle il lutte contre la mort, s'échappant à chaque fois de ses griffes glacées, luttant et résistant de toutes ses forces. Mais nous ne nous faisons pas d'illusions à son sujet. La Faucheuse l'emportera bientôt, de gré ou de force.

Ils arrivèrent enfin à une grande chaumière, peu éclairées, les volets fermés. De même facture que les autres maisons, elle se détachait par sa taille, et le renforcement de sa structure. Elle semblait avoir été conçue pour résister non pas seulement au froid mais aussi aux envahisseurs de tous genre. C'est là. Désolé de ne pas entrer avec vous, mais j'ai une fournée. De plus, je pense que vous voudrez un peu d'intimité pour attendre la mort avec lui. Elle l'observa pendant un court moment, puis sorti un pain chaud de son panier.

- Il est à vous. Puisse t'il vous réchauffer autant le coeur que votre bouche. Allez, et bonne chance.

Le halfelin répondit à la dame avant de rentrer dans la maison. Il se fit indiquer la pièce et y entra. Elle était sombre, très sombre. Il ne distinguait que le lit, pas l'homme qui était couché dedans.

- Entre, mon enfant, disait une voix qu'il aurait reconnu entre mille. Ferme la porte et entre, j'ai à te parler, disait Zelgar.

Le jeune homme ne se le fît pas dire deux fois. Il entra, ferma la porte soigneusement et se mit à genoux puis s'assit en "seiza" (Position assise formelle. Les fesses reposent sur les talons. Les pieds sont droit
vers l’arrière et les orteils sont allongés.).

-Ne t'ai-je donc pas apris le respect? Dit le vielle homme, un sourire un visage.

*Bien qu'il avait les yeux fermés et semblais endormies, il n'a rien perdu de son entourage. Je ne vois aucun faiblissement de sa part. Nul doutes qu'il est mon maître.*

-Osu sensei.

Il posa sa tête sur le plancher de bois et mît ses mains à plat au niveau de sa tête, signe de grand respect et d'impuissance face à la personne devant soi. Et ne dit plus un mot, laissant le temps s'écroulé jusqu'à se que Zergal décidera de lui parler. Il en fut toujours ainsi et le sera jusqu'à la fin.

Nurarihyon :

Le vieillard ouvrit ses yeux couverts de cataracte, yeux, Nurarihyon le savait, qui avaient cessés de voir depuis des années déja. D'une voix affaiblie par le poids des ans, il déclara :

- Relève toi mon enfant. Ce que j'ai à te dire aujourd'hui n'est pas une discussion de maître à élève mais bien une discussion d'un mourrant à son fils. Oui, d'un mourrant à son fils. N'ai-je pas été comme un père pour toi? Ne t'ai-je pas élevé afin de faire de toi ce que tu es aujourd'hui? Tu peux être fier de ce que tu es, Nurarihyon. Tu es digne d'être appelé ninja après toute ces années. Mais passons... Être sentimental ne me vas pas super bien, après toutes ces années à être dur et exigent avec toi. Je ne t'ai pas fait venir pour discuter de tout cela. Tu le savais bien avant d'entrer ici.

Je vais bientôt quitter ce monde, je le sens dans mes os, dans mes muscles endoloris, dans l'odeur de l'air même. Et je voudrais te faire quelques recommandations. N'oublie jamais les enseignements que je t'ai appris, ni les valeurs que je t'ai inculqué au cours de toutes ces années. Elles te seront nécessaire pour conserver ton âme au cours des années à venir... Et oui, ne sens-tu pas l'odeur de la guerre dans l'air? Reste droit et fier dans la tempête et tu auras alors triomphé... Les écarts du Comte Zakhar ne resteront plus impunis longtemps. Prend part à la bataille, et vainc pour moi.

Le vieil homme fut pris d'une quinte de toux qui dura cinq longues minutes, avant de reprendre la parole.

- Et je voudrais te demander quelque chose. Je ne voudrais pas partir vers l'autre monde en y laissant une dette. Pourrais-tu régler ma dette envers ce village? Sans les potions de cette bonne Solveig, je n'aurais pu rester en vie suffisemment longtemps pour te parler une dernière fois. Le feras-tu pour moi?

Nurarihyon n'avait jamais vu son maître avec une telle lueur dans les yeux, une lueur presque suppliante, qui contratait avec la dureté habituelle de son regard.

après avoir utiliser son imposition des mains pour atténuer sa douleurs Elethor jeta un coup d'œil alentour de la pièce, puis il décida de manger un peut.
A la fin de son magnifique repas il s'allongea dans son lit, luxe qu'il n'avait pas eu depuis plusieurs semaines.
Alors qu'une larme coulais le long de sa joue il murmura pour lui même.

-C'est pour ça que je me bat, dans l'espoir que un jour tous les hommes s'entraideront.


Sur ces mots il prit un peut de repos en attendant la venus des personnes l'ayant héberger.

Gritz :

Gritz avait construit sa maison près d'un village humain. Et contrairement à la plupart des membres de cette race que Gritz trouvait un peu trop fragile à son goût. Mais il trouvait ces curieux être très inventif, créatif et extrèmement courageux. Les gobelins pulullaient dans la région, et attaquaient en quantité des fois égale au triple des défenseurs humains. Pourtant, ils s'étaient incrustrés dans ces montagnes inhospitalières et allaient y rester, si Gritz se fiait à ce qu'il voyait. Un accord tacite s'était rapidement installé entre ces petits êtres et le fier chasseur demi-ogre. Chacun défendait l'autre des attaques répétés des gobelinoïdes, et aidaient l'autre lorsque les choses allaient mal. Un jour, par exemple, il avait aidé à reconstruire la maison du vieux Goréon qui avait brûlée dans une incendie, frappée par la foudre. Une autre fois, lors d'une période de disette, Kerlomar avait partagé avec lui la chair de l'orignal qu'il avait fraîchement tué, sans rien demander en retour. Un état de franche camaraderie règnait donc entre les villageois et Gritz, qui se sentait enfin accueilli et respecté. Ici, dans les froides montagnes, l'entraide était nécéssaire et on reconnaissait la valeur de quelqu'un à ses agissements, et non à son apparence.

Ainsi, lorsque le jeune chef Leik lui avait demandé de venir à sa rencontre, il avait accepté sans attente et s'était dirigé vers le village, qui se situait à trentes minutes de sa hutte. Il arriva rapidement dans le petit village de Suzail, et se dirigea dans le village, composé de plusieurs huttes disposées sur le flanc de montagne, des petites maisons qui paraissaient très basse au demi-ogre. Leur bas plafond avait été réalisé afin de conserver la chaleur, s'était-il laissé dire. Une fois rendu au village il s'avisa qu'il n'avait aucune idée dans laquelle des petites maison Leik avait élu domicile.

Elethor :

Un jeune homme entra, suivit d'une femme au regard dur, et de la jeune fille qui était là à son réveil. Elle aurait pu être belle sans ce regard de carnassier, ces manière féroces et cette brusquerie qui lui enlevait toute féminité. Cet effet était emplifié par l'épée à deux main qu'elle portait dans le dos. Le jeune homme avait une certaine prestance, et semblait plus enclin à la gentilesse que la femme. Il regarda un Elethor allité, lui sourit, s'apprêta à dire quelque chose, mais fut coupé par la femme.

- Le voila ton "vaillant guerrier", dit elle d'un ton mordant, méprisant presque. Allité alors que d'autres pourraient avoir besoin de lui? Je t'en conjure, mon frère, n'envoie pas cet incapable! J'irai, tu sais que j'en suis capable! Fait seulement me laisser...

- Suffit Cass. Je ne te permettrai pas de remettre en doute mes décisions. Nous avons besoin de toi au village. Je crois ce guerrier plus que capable d'accomplir cette mission.

Puis, il se tourna vers Elethor, lui sourit et s'adressa directement à lui.

- Veuillez pardonner à ma soeur, noble guerrier. Elle est quelque peu emportée. (la femme s'empourpa à ce commentaire, mais parvint à tenir sa langue.) C'est elle qui vous as sauvé des gobelours. Comme le veut la coutume, votre vie est entre ses mains, car elle vous as sauvé. Et dans sa grande magnanimité, elle a décidé - à ma demande - de vous confier une mission dangereuse. Si vous réussissez, vous regagner votre vie et votre liberté. Si vous échouez... Nous ne serons alors plus en état d'avoir cette discussion. Mais je vous expliquerai tout cela en détail lorsque tous seront arrivés. Tout votre équipement vous seras restitué sous peu, ne vous inquiétez pas.

:HRP: Peut-être en dire plus sur ce que ressens Elethor en ce moment, à la vue de la fille, de son départ précipité, du fait d'avoir été vu en état de faiblesse, d'avoir une dette, des choses dans le genre.

Gritzed prit le moyen le plus simple pour trouvé son chemin :Demander à un passant la direction à suivre pour se rendre à son point de rendez-vous. Tout en cherchant un passant dans la rue, Gritzed se demandait toujours comment faisait ces si petits êtres pour réussir à vivre. Après quelques coup d'oeil autour de lui, Gritzed choisi de demander à un homme qui, pour un humain, était considéré comme un homme d'une bonne grandeur. Mais pour le demi-orge, il lui arrivait qu'à l'épaule. Avec un grand sourire au lèvres, il lui dit:

-Homme, indique le chemin à Gritzed pour aller voir votre chef Leik.

Tout de suite après que l'homme lui dit le chemin, il parit dans cette direction d'un pas assuré. Tout en marchant, il repensa au fait qu'içi, au moins, il était accepté comme il est! Mais toutefois, il repensait sans cesse à la vie qu'il avait vécue dans son petit village. Quand il arriva enfin à la petite maison de Leik(En fait, toute les maisons était petites!!), il chassa ses mauvaises pensées de son esprits et se prépara à recevoir le message que le petit chef voulait lui transmettre.

Gritzed :

L'homme, Kertsh, se rappella Gritzed, se retourna et le toisa, nullement intimidé par la grandeur du demi-ogre. Il le regarda, inclina légèrement la tête et lui indiqua la plus grande maison du village, qui semblait davantage taillée pour lutter contre des envahisseurs que contre le froid. On aurait dit une petite forteresse. Et, chose interressante, il pouvait y entrer aisément, sans avoir à baisser la tête.

- Courage et lame sanglante, guerrier. Tu vois cette maison? C'est celle du Chef. Il t'attend à l'étage, d'après ce que j'ai cru comprendre. La chambre du chevalier. Il aurait une mission à te confier. Je t'envie, mon ami... Une escapade dans les Sombres Terres, un raid audacieux, une place à la droite d'Uthgard, peut-être une mort glorieuse...

Alors que Gritzed repartait, d'un pas rapide vers la maison du Petit Chef, une main agrippa son épaule, le forçant à s'arrêter et à se retourner.

- Une dernière chose, Gritzed, mon ami. Tue quelques uns de ces peaux-vertes pour moi. Et que l'esprit de tes ancêtres veillent sur toi, ok?

Après avoir répondu à Kertsh, Gritzed s'élança vers la maison de Leik, monta à l'étage et entra dans la chambre dans laquelle se tenait Leik. Il se trouvait dans une pièce, en compagnie de Cassandra, sa soeur, une guerrière de renom qu'il respectait énormément. Et enfin, la dernière fille de la famille, une princesse certes belle, mais que Gritzed trouvait particulièrement ennuyeuse, et qui avait l'air si fragile dans sa robe blanche imaculée... En entrant il se cogna dans le haut de la porte, jura en géant et se pencha pour entrer. Cassandra éclata de rire en le voyant se cogner et vint l'accueillir d'un pas rapide à la mode des guerriers (en se serrant mutuellement l'avant-bras), suivit d'une virile accolade.

- Ah, là tu parles, s'exclama t'elle en voyant entrer le volumineux guerrier. Envoyer Gritzed, ça c'est une idée qui me plait. Désolé de ne pouvoir t'accompagner, mais l'Chef veut absolument que ce soit sa majesté le Chevalier qui y aie avec vous. Tu me raconteras tout en revenant, hein?

Ses yeux habituellement si durs étaient maintenant malicieux, face au géant demi-ogre, qu'elle semblait apprécier énormément.

Gritzed appréciait Cassandra comme amie geurrière, pas comme un amoureuse. Gritzed s'était dit qu'il ne se lirait jamais d'amour avec une femme car cela comportait trop de responsabilité qu'il était pas prêt de prendre. Et il ne voulait pas le dire, mais il se sentait mal à l'aise avec les femmes qui l'aimaient trop. Après que Cassandra lui ai parlé de sa majesté le Chevalier, Gritzed eu un moment d'hésitation qui n'était pas habituel chez lui.

-Sa majesté le Chevalier!?! Qui peut bien être cet Homme qui s'appelle d'un nom aussi laid? Gritzed veut le rencontrer avant de partir et veut savoir qu'est ce qu'il va faire comme mission! Il veut savoir si il pourra tuer quelque chose et ramener sa tête comme trophée de guerre!

Gritzed avait envie de savoir ce qu'il allait faire. Et surtout, il avait hâte de se battre. Pour Gritzed, se battre était comme un drogue. Quand il se battait, il ressentait comme une euphorie qui l'emplissait d'une chaleur qu'il ressentait qu'en se battant.

-Eh oui Cass, Gritzed va te raconter comment il se sera battu.Et il murmurra tout bas juste pour que Cassandra l'entende:En fait, Gritzed n'aura pas à te raconter son histoire car Gritzed va faire en sorte pour que Cassandra vienne se battre à mes côtés!

Loup Protecteur :

- Leik, notre chef, a besoin de toi pour guider un groupe dans les Sombres Terres... Quelque chose à voir avec cette affluence de gob's dans le coin, à ce que je me souviennes. Un mission périlleuse dans lequel il voulait mon meilleur chasseur. Je t'ai conseillé à lui, tu es le meilleur pour cette tâche, alors... Mais va le voir. Il t'attend.

Après avoir répondu à Kerlomar, Loup Protecteur s'élança d'un pas leste vers la maison du jeune N'à-qu'un-Oeil. Il monta à l'étage, et arriva alors qu'un gigantesque géant pénétrait dans la chambre. Il entendit Cassandra lui faire une accolade, puis vanter ses hauts-faits. Sur le pas de la porte, il attendait que le balourd entre dans la grande chambre, ce qu'il finit par faire, parlant d'un ton gutural la langue des humains.

Gritzed :

Un sourire au lèvre, la jeune femme désigna un jeune homme, torse nu, le torse couvert de bandelette qui était couché dans le lit, de l'autre côté de la pièce.

- Le voilà, Chevalier. C'est un de ceux qui seront tes compagnons d'arme durant cette petite mission dont on t'a parlé. Mais nous allons attendre l'arrivée de tout le monde avant de l'expliquer.

Le regard de la fière guerrière se durcit aux paroles que Gritzed prononça, oubliant légèrement la loyauté des Barbares de Montagnes.

- Je couperais la langue de quiconque d'autre que toi qui suggérerait que je puisse trahir mon chef. Leik, l'est, en plus d'être mon seul frère, et je ferai ce qu'il ordonne. Je te pardonne pour cette fois, car tu as proposé cela pour me faire plaisir, je le vois bien. Mais pèse plus tes mots la prochaine fois. Car je pourrais laisser la fureur m'aveugler cette fois là.

Gnadenlos :

Après plusieurs longs mois à errer dans ces rudes et âpres montagnes, suivant la trace de son frère avec une attention scrupuleuse, et une vigilance de tous les instants quant à sa traîtrise, Gnadenlos finit par arriver dans un petit village du nom de Suzail. Construit sur le flanc d'une des montagnes des Monts Fumants, loin au nord de la citadelle de Shadowcliff, par delà la rivière Rouge, elle avait été construite lorsque les nomades des montagnes s'étaient sédentarisés en ce point d'eau, et y avaient battis un superbe petit village pittoresque, qui résistait depuis déja près de cinquantes ans aux raids répétés de pillards gobelinoïdes de tout poil.

Il commença par interroger les villageois quant à la possible apparition de son frère dans le village, mais la plupart du temps, les gens le regardaient alors avec méfiance, voir avec une hostilité presque palpable. Gnadenlos en conclu rapidement qu'on lui cachait quelque chose. Une passante finit par lui conseiller de parler à Leik, le jeune chef, qui pourrait peut-être plus le renseigner sur le sujet. Le problème étant : où se situait ce fameux chef, dans le grand village?

Un signe de tête en guise de remerciment à Main-Assuré et une petite course entre Toison d'ébène et moi plus tard et je me trouvais sur le pas de la porte de la chambre.

''Je déteste les endroits fermés.Je m'y sens prisonier, c'est déplaisant.Comment font-ils pour vivre toutes leurs vies là-dedans.Bon le plus tôt l'entretien terminer, le plus tôt je pourrai sortir.Voici donc Celui-qui-est-grand, je l'ai croisé à une ou deux reprise au village je crois.N'a-qu'un-oeuil et ces soeurs Peau-diaphane et Forte-carrure.Mais l'Orreille-courte qui ce trouve dans le lit j'ignore qui c'est.Est-ce eu que je devrai guidé?''

J'entra dans la chambre pour faire mes salutations:

-Bonjour à tous.On m'a dit que tu m'a demander N'a-qu'un-oeuil.Peau-Diaphane avec le temps vous embellissé de plus en plus.Toi Forte-carrure toujours aussi prête à étriper quelque gobelin à ce que je vois.

Me tournant vers Celui-qui-est-grand et l'inconnue:

-Quant à vous nous ne nous sommes pas présenté: je suis Loup Protecteur et voici Toison d'ébène.Vous vous êtes Celui-qui-est-grand et lui Sa-majesté-le-chevalier.Bon voilà pour les présentation.

Même si Gritzed se sentait un peu mal à l'aise, personne ne pu le savoir car aucun indice physique ne permettait de le voir. D'un ton un peu frustré, Gritzed dit:

-Combien de temps Gritzed doit attendre encore? Gritzed n'aime pas attendre, surtout si c'est pour se battre et pour la bière!

Gritzed éclata d'un rire grave qui, si on n'avait jamais entendu ce rire, on penserais que c'étais un cri de guerre! Après cet éclat de rire, Gritzed demanda s'il pouvait faire autre chose pour le petit chef, car il avait un emploi du temps chargé pour la journée à venir.

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Mjolln :

C'est meurtris dans l'âme que Mjolln sorti finalement de l'Ombreterre. Brisé, détruit, ne vivant que dans et pour la souffrance, il avait erré pendant un temps qu'il ne pouvait définir, luttant pour conserver sa santé mental, regoûtant à la vie normale avec une certaine difficulté. Son coeur n'était plus qu'un bloc de pierre rabougri, noire comme de l'encre et renfermant une haine sans commune mesure au monde entier, à la vie elle même qui lui avait fait vivre de telles choses. On ressortait toujours changé de 55 ans de torture chez les drows, si jamais on en ressortait. La déroute de la maison Naer'Glaeron, détruite par sa rivale afin de monter dans la hiérarchie de la citée souterraine lui avait permis de sauver son âme, mais parviendrait-il à sauver son âme?

Son âme à la dérive, sans but, sans raison de vivre, il sombra rapidement dans un noir désespoir... Désespoir qui le poursuivit jusqu'à ce que, après quelques années, il rencontre finalement une vieille sorcière, vieille sorcière qui lui appris avant de mourrir dans d'atroce souffrances (et oui, Mjolln avait appris de ses tortionnaires) que Daer'gol, le fils de la matrone drow qui l'avait capturée, et son pire tortionnaire, était encore en vie, et se terrerait dans les monts Fumants. Cette nouvelle réveilla toute la haine du nain gris, qui s'élança alors sans autre forme de procès vers le nord, concentrant sa haine, la taillant comme une arme qui lui confèrait la victoire et la vengeance. Sa haine et sa cruauté ainsi armée, il passa tout le voyage à imaginer ce qu'il ferait subir au drow. Mais manquant de vivres pour une telle excursion, et surtout, voulant en apprendre davantage sur la région afin de mieux combattre son adversaire, il s'arrêta dans le petit village de Suzail, un village d'humain. Cachant son dégoût pour cette sale engeance, qui le lui rendait bien, il arpenta le village, avant de trouver une grande maison, presque une forteresse, et dans laquelle il vit une sorte de géant entrer. Se disant que c'était sûrement une caserne, il se dit qu'il obtiendrait là ses informations sur la région, et surtout sur les dangers qu'il y avait. Nul doute que Daer'gol se serait entouré de serviteurs pour le défendre, ce lâche!

Une fois le pas de la porte passé, Mjolln put enfin retirer la sombre capuche qui lui couvrait les yeux. Bien que le soleil déclinait lentement, sa lumière le blessait.

Il regarda tout autour de lui avec un rictus de degout qu'il ne chercha même pas a cacher. Puis alla vers un homme qui semblait avoir une autorité quelqu'onque pour lui demander sans detour

Je veux des vivre, de l'équipement et l'information sur les environs des Mont-fumant.

Puis attendit une reponse de son interlocuteur. Alors que le nain parlait, tous purent voir l'énorme arachnide sur le dos de la main du nain. Créature qu'il flatait distraitement du bout de l'index

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Ça n'aura pas été long pour toi

Nurarihyon regarda son maître qui, autrefois, inspirait la terreur sans même se dévoiler. Une aura meurtrière que très peu surmontait pour mourir dignement de sa main. Maintenant agonissant dans un lit le visage dévasté par des yeux suppliants...la vision devenait insupportable.

-Maître, vous m'avez appris un jour qu'un ninja se devait de mourir par la main d'un enemie...que la souffrance qu'il avais donné se devait d'être retourner et qu'ainsi, lorsque nous tuons, nous devons toujours le faire le plus rapidement et éfficacement possible pour donner le moin de douleur que possible...laissez moi mettre fin à votre vie senseï, pour que vous mourriez dignement.

Zergal ferma les yeux, se mit droit dans son lit et afficha un sourire libérateur. Les larmes aux yeux, Nurarihyon s'approcha tranquillement de son mentor, mis sa main sur sa nuque, puis la détruisit d'un coup sec. Un son d'os brisé se fît entendre, creux et dévastateur au oreille de se dernier. Il dit ses derniers hommages puis quitta la pièce en silence, les yeux plus brûlant que jamais.

Les larmes aux yeux, le ninja sortit de la pièce et parti prendre l'air. Il avait besoin de se reconsidérer. Le temps lui avait volé son maître, maître qui avait été l'un des rare qu'il eut jamais aimé le jeune ninja tel qu'il était... Et d'un brusque revers du destin la vie lui avait arraché son seul repère. Déboussolé, Nurarihyon peinait à comprendre ce qui l'entourait... Puis, il se releva, réveillant la rage qui était en lui. Jamais son maître n'aurait voulu qu'il se laisse abattre ainsi. C'était LE dernier test avant de vraiment devenir ninja et il avait été à deux doigts de le rater. Reprenant conscience de son environnement, il constata une scène bien étrange. Un gigantesque colosse qui se faisait railler par un petit nain, qui paraissait minuscule aux pied du géant, qui avait dégainé sa hache qu'il abattit à cinq bons pieds du nain qui tendit sa main en riant. Les autochtones semblaient étranges ici...

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