Lève-toi et marche!

Silvar

Silvar relaxait tranquillement au monastère le soir de la cérémonie de la naissance de la ville volante. Le squelette qu'il tentait de réanimer avait une tendance à vouloir rester au monde des morts. Lui, il se foutait complètement de cette ville, seul comptait son dieu et le squelette. Les gens n’étaient pas assez croyant envers son dieu, le dieu suprême, enfin, c’était son rêve. Couché sur un sofa à l’effigie de son dieu, le squelette immobile regardait Silvar de son regard vitreux. Silvar lui rêvait d'aventure, alors que la créature morte elle rêvait du repos éternel. La vie du temple devenait trop monotone pour Silvar et il ne pouvait pas convertir des gens pour le fait simple que personne ne venait dans le petit temple de Doresain. Depuis plusieurs années déjà… C’était presque rendu au fait que l’église ne pourrait plus nourrir ses prêtres. Silvar était tanné de cette situation fâcheuse et avait décidé d’y remédier. Pour l’instant, il n’avait aucune idée comment, mais il savait que les vols, ce n’était pas très payant. Il l’avait déjà essayé, mais aucun résultat apparent. Il avait brisé sa tunique lors du dernier vol et avait dut s’en acheter une nouvelle avec l’argent fait avec l’objet voler. Il avait aussi pensé à engager de vrais voleurs, mais les payer revenait au même que d’y aller par soi-même. Il espérait que Doresain trouverait comment sortir son église du tas de merde dans lequel elle s’était plongée à pied joint. Silvar regrettait de ne pas avoir proposé sa candidature pour le poste de prêtre générale, comme ça au moins il aurait évité cette catastrophe. Quelqu’un claqua à la porte et Silvar, tout heureux d’avoir enfin quelqu'un à convertir, se dépêcha d’aller ouvrit la porte aux visiteurs pour pas qu’il attende. La porte s’ouvrit sur un petit groupe d’assassin, celui chez qui Silvar avait été volé.

- Est-ce ici qu’habite un certain Silvar? Nous aurions un besoin pressant de lui parler. Dépêcher vous, je déteste attendre…

L’assassin qui semblait le plus fort s’approcha de Silvar et joua avec sa lame de façon très stressante. Silvar comprit qu’ils n’étaient pas du genre à être très patient. Silvar essaya d’avoir l’air très calme et regarda l’homme dans les yeux avec de lui parler avec calme et détachement.

- Attendez messieurs, je vais le chercher et je vous le ramène. Laissez-moi quelques minutes, il est en haut.

Silvar s’éloigna en se retenant de ne pas courir pour ne pas révéler sa vraie identité. Il était rendu à l’escalier quand il entendit frère Érénias parler aux visiteurs indésirables.

- Silvar, c’est lui Silvar. Quelle drôle de question!

Silvar manqua s’étouffer de panique. Quel imbécile! Pourquoi il l’avait dit! Il n’avait pas vu que c’était des assassins! Il sentait les regards des intrus sur son dos. L’assassin avec la lame sourit, enfin, Silvar cru voir un sourire sur ses lèvres avec son angle mort, car il était rendu sur les premières marches de l’escalier.

- Merci prêtre. Maintenant, vous pouvez disposer…

Les sept assassins entrèrent dans la grande salle et coururent après leur voleur. C'est le moment que choisi le squelette pour se lever. Il alla attaquer les assassins pour avoir droit au repos plus rapidement, laissant ainsi à Silvar une chance de plus pour survivre. Silvar, qui n’avait pas sa cuirasse, couru assez vite pour réussir à fermer la porte de la bibliothèque avant que les assassins réussissent à le tuer. Une sueur froide lui coulait dans le dos et il se demandait comment il pourrait fuir le temple avant que les assassins en finissent avec lui. Le temps pressait. Silvar devait se dépêcher sinon sa vie risquait de finir assez drastiquement. Qu’est-ce qu’il pouvait bien faire contre sept personnes? Le temps n’était pas à la rigolade et il le savait. Les assassins commençaient déjà à essayer de briser la porte, et ils n’en auraient pas pour longtemps avant de rentrer dans la pièce. Il devait fuir, mais comment?

Cela avait été long et ardu que de ramener le vieux qui avait bien tenter de le tuer à l'époque où Silvar n'était encore qu'un bébé.Mais il avait réussi.Lorsque les assassins étaient arriver, il avait paniquer.

"Merci père Érénias.Je vous revaurai ça!"

Voyant finalement le squelette s'animer il en sauta presque de joie.Il lui ordonna télépathiquement de le suivre au pas de course.Arriver dans la bibliothèque il se demanda bien se qu'il pouvait bien faire.Puis une idée de génie traversa son esprit.Il recula jusqy'au fond de la salle.Là il s'accroupit et se concentra.Il ordona au squelette de se cacher.Il attendit ainsi que les tueurs ne veulent bien rentrer pour leur infliger les tourments de leurs vie.

HRP:Un squelette n'a pas assez de conscience pour VOULOIR retourner au royaume des morts(en fait il n'a pas de conscience tout court!).Il obéi au doigt et à l'oeuil de celui qui l'a animer.

Silvar utilise Sangsue malfesant dès que les assassins entrent(Ce qui leur inflige 1d6 point de dégat par round d'exposition(et je décide quand arrêter))

Les assassins s'elancerent pour etre le premier à trucider de façon ma foi assez violente et peu agreable à regarder.

- On ne vole à des assassins pauv'con! Tu payeras pour avoir pénètrer notre domaine!

Les assassins s'approchaient rapidement, Silvar se devait d'agir vite. Les bandit entrerent dans la bibliothèque. Silvar attendit encore un peu que tous les indésirables soient à sa porter avant d'utiliser le don.

Assassin 1 : 4 PV perdu par round
Assassin 2 : 5 PV perdu par round
Assassin 3 : 1 PV perdu par round
Assassin 4 : 2 PV perdu par round
Assassin 5 : 4 PV perdu par round
Assassin 6 : 4 PV perdu par round
Assassin 7 : 4 PV perdu par round

Pendant que les assassins faisaient le "bacon" à terre, Silvar les désarma. C'était plus prudent au cas ou se réveillerai. Après il les égorgea, et rrèta d'utiliser son don. Grâce à la plaie sur le cou de ennemis, il pu boire leur sang et mangea un peu le corps de ses assaillants. Il sourit d'un sourire plutôt machiavélique dut au sang qu'il avait tout le tour de la bouche. Voici une bonne vengence à se pauvre frère Érénias qui était trop stupide. Silvar se leva et alla vers la fenêtre pour partir du temple. Doresain venait de lui envoyer un signe qu'il était temps pour lui de partir loin du temple et de vivre sa vie dans la ville, sans le vie monoone du temple. Il sorti dans la nuit silencieuse...

Silvar marchait le plus silencieusement possible pour ne pas se faire prendre par de vulgaires voleurs et risquer ainsi de se faire voler ou tout autre chose désagréable. Il arriva quelque instant après, sans incident autre qu'il avait eu une roche dans son soulier, qui l'avait énervé tout le long de son trajet. Il entra dans la maison plonger dans le noir. Il fit le tour de la maison sans trouver âme qui vivent. La maison presque vide, le seul mobilier qui se trouvait dans cette petite maison était un lit qui se trouvait dans le fond de l'unique pièce. Lit était mangé par les mites était très poussiéreux. Silvar le tassa pour le mettre dehors pour qu'il serve à un pauvre qui n'avait pas de lit. Sous le lit, le prêtre trouva une petite clé.

*Mais à quoi peut bien servir cette clé. Le lit ce n'est jamais une bonne cachette. Je croyais que les assassins étaient intelligent moi? À moins qu'elle est été placée là pour que je la trouve? Mystère...*

Silvar chercha pour trouve que pouvait bien débarrer cette clé. Après d'intense recherche, Silvar s'écroula à terre, épuiser. Il s'accota sur le mur pour reprendre son souffle. Il entendit un petit déclic. Silvar sursauta. Il se retourna et la vit, la serrure, celle de la petite clé. Il rentra avec solennité la clé et quand il la tourna, un autre déclic, puis, le silence. Silvar alla repartir frustré quand il senti le sol bouger sous ses pieds. Il arrêta de bouger et le sol s'enfonça sous terre, avec lui. Le sol descendait à toute vitesse. Après quelques secondes qui parurent pour lui une éternité, Silvar tomba sur un lit douillet, le plus douillet sur lequel il avait posé les pieds de toute sa vie. Quand sa tête arrêta de tourner, il détailla la chambre : elle était ronde et elle lui semblait assez riche, trop riches pour appartenir à de pauvre assassins de la basse ville. Deux chaises se trouvaient dans la chambre. Sur une des deux chaises se trouvait un repas. Silvar pensait rêver. Une jeune femme d'une grande beauté rentra dans la pièce.

- Ohh, vous êtes arriver Monsieur Silvar. Je ne vous attendais pas de sitôt. Reposer vous. Mon maître viendra vous voir en temps et lieu. Si vous avez besoin de quoique ce soit, appeler moi, je serai à côté. Bon repos Monsieur Silvar.

La femme s'inclina et attendit de voir si Silvar avait encore besoin de ses services.

Lorsqu'il avait découvert la clé, Silvar avait été sceptique.Mais que pouvait-elle bien ouvrir cette clé?La logique pur lui imposait de soupsonner qu'une clé si aisée à trouver, devait obligatoirement mené à un piège.Mais la tentation était trop forte.Il devait savoir ce qu'ouvrait cette clé.Lorsqu'il trouva enfin la serrure, il tremblait d'excitation.Mais lorsque le sol se déroba sous ses pieds,il se rendi compte à quel point il avait été stupide.Mais bien sur que c'était un piège qui l'attendait.Au fond de cette fosse l'attendait surement un lac d'acide ou des pieux érisser vers lui.Tant pis, il rejoindra l'armer de goule de Doresain plus vite c'est tout.Quelle ne fut pas sa surprise de tombé sur un lit douillet et une jolie jeune fille qui semblait l'attendre.

-Vous m'attendiez.Comment ce fait-il que vous saviez que je viendrais?Comment savez-vous qui je suis?Que veux votre maître?Et qui est-il au juste?

Lorsqu'il vit le plat de chair fraîche et un gobelet de sang devant lui un point d'intérogation apparu sur son visage.

-Comment saviez-vous que je mangeai de la chair crue et du sang?

Il sentit la viande et le sang.

-De l'humain!Comment saviez que j'adorait ça!?!Depuis combien de temps me surveillez vous?

La jolie jeune femme allai répondre au interrogation du jeune prêtre quand il parla de a chair humaine. Un frisson d'horreur la parcouru de la tête aux pieds. Elle ne put s'empêcher de se demander de quel humain venait la chair sanguinolente qui se trouvait dans le plateau de l'hôte du Marionnettiste, son maître. Elle releva la tête. Silvar put voir qu'elle était blanche comme neige.

- Je, j'ignorait que c'était de la... Enfin, votre viande, je l'ignorai... Je croyais que c'était de la viande, comme les autres...

Elle s'évanouit, et une main invisible semblait la tenir, pour pas qu'elle ne tombe sur le sol. Un homme rentra dans la pièce. Un était grand et un détail important de sa personne, il était masqué. En voyant Silvar, il s'inclina légèrement.

- Bonjour, je ne vous attendais pas de si vite. Je croyais que vous alliez retourner chercher vos squelettes avant de chercher le passage. Vous êtes mieux que je pensais.

Il se déplaça pour prendre la jeune femme évanouit. Il la déposa délicatement sur le lit.

- J'espère que ça ne vous dérange pas que je la dépose là? Vous voyez, elle est nouvelle ici alors elle a un peu de difficulté à accepter mes hôte disons, qui ne sont pas comme les gens habituels qui vivent dans les villes.

Il regarda Silvar. Le prêtre avait vieilli depuis la dernière fois qu'il l'avait vu. Ça faisait si longtemps...

- Ohhh, quel sont mes manières! Je me présente, je suis le Marionnettiste, maître de la destinée de presque tous les habitants de Ravencliff. Il est bien entendu que tu n'as jamais entendu parler de moi car personne ne connait le maître suprême de Ravencliff, même pas le roi sauf bien sûr mes domestiques et maintenant, toi et deux autres personnes qui t'attendent avec impatience.

Pour tes autres questions, je te répondrais en temps voulu. Pour l'instant, je croit qu'il serait temps que tu voit avec qui, si tu accepte la mission que je voudrait te confier, tu accomplira un acte héroïque qui sauvera la vie de plusieurs personnes, se qui veut dire, toute la ville. Si tu veux bien me suivre.

Le Marionnettiste sorti de la pièce et se dirigea vers une porte. Quand Silvar le suivit, il put voir que le couloir aussi était sphérique. Il pouvait aussi voir grâce à tout le mobilier et les autres objets qui se trouvait dans le couloir, que son mystérieux hôte n'était pas n'importe qui... Le Marionnettiste, qui l'avait attendu immobile devant une porte, entra dans une pièce ronde dès que Silvar arriva derrière lui. Silvar vit dans la pièce plus de richesse qu'il avait pu en voir pendant toute sa vie. Deux elfes noirs se trouvaient aussi dans la pièce. Une magicienne supposa le prêtre et un voleur. Le Marionnettiste se tourna vers lui après qu'ils soient entrés dans la pièce.

- Voici tes deux premiers coéquipiers pour la mission. Silvar, voici Ele'Naelle et Dansec, et Dansec et Ele'Naelle, voici Silvar. Je vais vous laissez sympathiser, pendant ce temps, je vais voir où sont les autres.

Le Marionnettiste fit comme il le faisait à chaque fois, il attendit devant la porte au cas où ses invités auraient quelque chose à lui dire.

Le sang va couler!